Un mélange de graines, composé de plantes sauvages indigènes, pour refleurir une surface autrefois dépouillée ou envahie de variétés exotiques.
Des plantes sauvages indigènes dans des pots, des jardinières ou sur des plates-bandes pour transformer balcons et bords de chemins en îlots accueillants pour les insectes.
Des haies vives, composées d’espèces indigènes variées, pour favoriser l’installation d’insectes, d’oiseaux et de petits mammifères.
Des arbres fruitiers à hautes tiges (pommiers, poiriers, cerisiers, pruniers, etc.) pour nourrir les insectes pollinisateurs et offrir le gîte et le couvert aux oiseaux, en prohibant du verger tous les pesticides.
Des toitures végétalisées, composées de plantes indigènes, pour recréer des espaces verts en hauteur.
Des murs végétalisés, avec des arbustes et des arbres indigènes, pour donner naissance à une forêt verticale. Plus modestement, on peut aussi laisser pousser des plantes grimpantes indigènes sur les clôtures et les pergolas.
Des surfaces engazonnées autrefois tondues pour permettre la prolifération naturelle des plantes indigènes.
Les mousses et les plantes de rocaille sur les murs en pierre sèche.
Un tas de pierre, de sable ou de galets. Un tas de branches, de feuilles, d’herbe ou de compost à l’air libre. Les insectes, reptiles, petits rongeurs et autres hérissons apprécieront.
Les plantes envahissantes, à condition de semer à leur place des essences indigènes, sinon elles reviendront.
Des zones d’échange et de passage pour les insectes, en remplaçant les chemins et les allées en béton par du gravier ou un substrat similaire.
Des étangs ou des puits, en y cultivant des plantes régionales aquatiques ou marécageuses.
Des cours d’eau, en les libérant de leur canalisation et en leur permettant d’accueillir sur leurs berges des plantes sauvages indigènes.